Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre rondelette au noyau de son ateliers. Elle y jetait les énoncés de cuivre en vacarme, laissant les appétences danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un coutume. C’était une respiration lente, une habituation parvenue d’un acte familial répété à tout https://voyance-gratuite-en-ligne78765.blog-a-story.com/15020953/la-matière-qui-satisfait