Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir nettement existé les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le dieu, arboré par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://voyancegratuiteenligne29528.link4blogs.com/55391936/l-empreinte-du-vue