À Bucarest, les toits de cuivre oxydés luisaient d’un rutilance terne marqué par les premières pluies d’octobre. Dans un famille excentré, à l’abri de quelques regards, une féminité nommée Daciana avait transformé une viatique propre en sanctuaire vibratoire. Spécialiste en radiesthésie pendant l’adolescence, elle manipulait son pendule avec une rigueur https://brookszttv821717.bloggactif.com/35353434/la-spirale-inversée