Au cœur des ruelles labyrinthiques de Makoko, quartier flottant de Lagos, les voix se mêlaient aux klaxons, aux cris des équipes, aux sons métalliques des barques qui s’entrechoquaient. Là, tout s’échangeait : biens, secrets, rumeurs. Et c’est dans cette cacophonie vivante qu’Abeni installa son modeste planche, sous une toile décolorée, https://mariahf320obn4.verybigblog.com/33229371/le-tarif-des-équilibres