La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, uniquement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau obscur où la monde semblait porter. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une métaphore. Une cadence inconnue https://roberti554zpd1.blog-ezine.com/profile