L’aube s’étendait mollement sur Venise, projetant une journée pâle à travers les lourds rideaux de velours. Dans la chambre silencieuse, le miroir semblait absorber toute la clarté, de la même façon qu'un puits sans fond. La faible vénitienne restait figée amenées à le support lisse du cristal, son regard verrouillé https://knoxkgypf.blogrelation.com/40087390/le-tablette-des-ombrages