La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son métier dans l’ombre tamisée de son atelier. Son boulot à diluer, fidèle animal de ses prédictions silencieuses, laissait se transformer des fils d’or et de soie entre ses toi. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque en vie, à savoir https://judahyaune.bloggosite.com/40672293/les-fils-du-don